Depuis la rentrée 2018-2019, les nouveaux étudiants sont rattachés au régime général de la Sécurité sociale. Néanmoins, souscrire à une mutuelle étudiante représente l’assurance de bénéficier d’une complémentaire santé efficace adaptée aux besoins et aux habitudes de l’étudiant.
Étudiants : choisissez une complémentaire santé pour être mieux remboursé
La rentrée 2018 a initié le basculement des étudiants rattachés au régime de sécurité sociale étudiant vers le régime général de la Sécurité Sociale, conformément à la réforme entérinée en 2017 par le gouvernement. Dès 2019, ce nouveau système sera généralisé à l’ensemble des étudiants. Toutefois, la Sécurité sociale ne rembourse que 70% en moyenne des dépenses de santé engagés. Dans ce contexte, quel organisme choisir pour bénéficier d’une protection complémentaire ?
Première option : les étudiants peuvent choisir de rester affiliés à la complémentaire santé de leurs parents jusqu’à l’âge limite fixé par l’assureur (cet âge maximum peut atteindre 28 ans chez certains organismes). Les étudiants peuvent souscrire une complémentaire santé individuelle qui leur assure une prise en charge personnalisée et optimale de leurs soins médicaux. Ainsi, les étudiants peuvent être remboursés leurs dépassements d’honoraires pratiqués par certains spécialistes comme les gynécologues, dermatologues ou ophtalmologues. En cas d’accident nécessitant une hospitalisation, disposer d’une couverture santé permet aux étudiants d’être mieux remboursés des frais engagés.
Opter pour une mutuelle étudiante adaptée à vos besoins
L’entrée de gamme des mutuelles étudiantes reste accessible, avec des contrats de « base », comprenant le remboursement des consultations chez les généralistes et les spécialistes conventionnés. Cependant, les garanties offertes par le contrat choisi doivent correspondre réellement aux besoins et aux habitudes de consultation. Parmi toutes les différentes formules proposées par les mutuelles, il s’agit de bien examiner le taux de remboursement offert par poste de dépense de santé. Ainsi, il est conseillé de choisir le niveau de couverture santé en fonction de son état de santé global, mais aussi de ses besoins spécifiques, notamment pour l’optique et les soins dentaires. Si l’étudiant porte des lunettes, le niveau de remboursement sur la monture et les verres correcteurs doit être satisfaisant. Idem pour les soins dentaires, peu pris en charge par la Sécurité sociale.
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